Les poules sont des gallinacés à usage militaire. Elles se nourrissent de plombs et vivent dans les casernes.
Pour comprendre comment la poule est devenu une arme, nous devons revenir plusieurs bilénaires en arrière, du temps où les œufs de poule se mangeaient (étonnant, non ?). À cette époque, pour améliorer la production d’œufs, on sélectionnait les meilleures pondeuses. La sélection était rigoureuse conduisant à des pondeuses toujours plus rapides et toujours plus puissantes jusqu’au jour où un effet pervers apparu. Les poules éjectaient si fort leurs œufs que ceux ci se cassaient invariablement. Les meilleures poules propulsaient leurs œufs à 150 mètres par secondes. L’armée commença alors à s’intéresser au potentiel balistique de la poule.
De nos jours, tous les soldats sont équipés d’une poule dont ils sont responsables. Il n’est d’ailleurs pas rare que le soldat affuble sa poule d’un petit sobriquet. L’usage de la poule est simple : il faut la tenir fermement d’une main par les pattes en orientant son orifice vers la cible. Avec l’autre main, il suffit de tirer sèchement sur la tête pour faire partir le coup.
Il semblerait que les scientifiques de l’armée travaillent actuellement sur un projet d’arme lourde appelée bio-bazooka : en effet, ils cherchent à reproduire l’exemple de la poule avec des autruches.
Pour comprendre comment la poule est devenu une arme, nous devons revenir plusieurs bilénaires en arrière, du temps où les œufs de poule se mangeaient (étonnant, non ?). À cette époque, pour améliorer la production d’œufs, on sélectionnait les meilleures pondeuses. La sélection était rigoureuse conduisant à des pondeuses toujours plus rapides et toujours plus puissantes jusqu’au jour où un effet pervers apparu. Les poules éjectaient si fort leurs œufs que ceux ci se cassaient invariablement. Les meilleures poules propulsaient leurs œufs à 150 mètres par secondes. L’armée commença alors à s’intéresser au potentiel balistique de la poule.
De nos jours, tous les soldats sont équipés d’une poule dont ils sont responsables. Il n’est d’ailleurs pas rare que le soldat affuble sa poule d’un petit sobriquet. L’usage de la poule est simple : il faut la tenir fermement d’une main par les pattes en orientant son orifice vers la cible. Avec l’autre main, il suffit de tirer sèchement sur la tête pour faire partir le coup.
Il semblerait que les scientifiques de l’armée travaillent actuellement sur un projet d’arme lourde appelée bio-bazooka : en effet, ils cherchent à reproduire l’exemple de la poule avec des autruches.